Les travaux de Frédéric Heurlier Cimolaï et Tanguy Tolila sont construits autour de la notion de superposition. Dans l’oeuvre de Cimolaï, les formes se superposent : en dessinant des trames aléatoires, on aperçoit des formes qui ne nous sont pas inconnues, intemporelles, des formes rêvées, suggérées, enchâssées en grand nombre dans le maillage des lignes. Chez Tolila, la superposition se trouve essentiellement dans la matière, d’anciennes couvertures de livre, des échelles. Gardées brutes quand il le faut et retravaillées, peintes, assemblées, cousues et parsemées de symboles comme un titre gardé dans la reliure. Dans les deux cas, les couleurs se croisent, se chevauchent, s’associent et se nourrissent.
Un accrochage complémentaire autour du «bleu» sous toutes ses nuances, plus ...
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